La peine de mort est un des châtiments les plus anciens de l’Histoire. Pourtant, elle n’a été abolie qu’en 1981 en France – qui est l’un des derniers pays à l’abolir en Union Européenne – et n’a été inscrite dans la Constitution qu’en 2007. Des premières civilisations à notre époque, elle a été très controversée, à la fois suivant l’époque et l’endroit. Ainsi, différents mouvements abolitionnistes (motivés par l’Eglise, les Lumières, Badinter, Amnesty International, l’ONU, etc) et non-abolitionnistes ont eu lieu, avec chacun leurs arguments. Or, la majorité des arguments du camp non-abolitionniste sont aisément réfutables. Cependant, cela ne suffit pas à convaincre le monde entier, et c’est pourquoi chaque camp, abolitionniste et non-abolitionniste, s’intensifie dans sa direction sans arriver à un consensus global. Un exemple important est la Chine, sur laquelle il est difficile d’avoir des informations mais qui est considérée comme le premier bourreau du monde. En effet, la Chine condamne à mort pour des infractions qui ne sont pas considérées comme des crimes graves par les normes internationales, pour des affaires très médiatisées pour envoyer un message à la population, et de manière cachée pour la population Ouïghour.
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